Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

zero infinite

  • Chronique du jeu : Left 4 Dead 2 - fin

    J’avais pourtant bien envie de le boycotter ce nouveau Left 4 Dead. L’annonce de sa sortie en lieu et place de vrai contenu supplémentaire, comme on le connaît sur PC pour Team Fortress 2, m’a laissé un goût amer dans la bouche. Ce coup de poignard dans le dos, renforcé par l’arrivée du contenu passable nommé Crash Course, témoignage d’un certain relâchement, faisait de Left 4 Dead 2 un jeu attendu au tournant, laissant au développeur américain une infime marge d’erreur pour ne pas décevoir ses fans.


    Eradication de l’infection... une balle à la fois



    Ce n’est pas tout de diversifier le bestiaire, il faut donner aux joueurs les moyens de le combattre. On disposera donc d’un plus grand panel d’armes à feu, qui n’apporte cependant pas grand-chose à part pour l’esthétisme. A contrario, des armes de corps à corps font leur apparition. Tout comme les flingues, elles peuvent s’utiliser constamment, sauf la tronçonneuse qui consomme de l’essence. D’ailleurs, leur utilisation sera plus qu’indispensable pour sortir vivant de certains passages. D’autre part, la présence de munitions explosives ou inflammables qui permettent de venir à bout plus facilement d’un Tank par exemple, tout comme la bile de Boomer, en plus des Molotov ou Pipe Bomb, ajoutent de nouvelles possibilités tactiques.


    Le côté moisi de la Force


    Venons-en au multijoueur qui sera, à n’en pas douter, le morceau le plus apprécié des joueurs. On retrouve l’habituel lobby et la création de parties sur serveurs dédiés. Si ces derniers souffrent encore de lags chroniques, il est toutefois possible d’héberger soi-même sa session. Dans tous les cas, les connexions sont excellentes à quelques cas près. Les modes proposés sont plus variés que dans le premier épisode, toujours présents, le mode Versus est un incontournable... tant qu’on n’a pas goûté au mode Collecte. Le principe est ici de ramasser des bidons d’essence pour remplir le réservoir d’une voiture ou un groupe électrogène. Pour ce faire, les survivants ont 1 minute 30 pour aller chercher les jerricanes et les rapporter. Chaque bidon versé rajoute du temps au compteur, la manche se termine lorsque le nombre limite de bidons est atteint, ou que le temps imparti est écoulé et qu’aucun survivant ne porte encore de jerricane. Charge à l’équipe adverse de faire mieux à la manche suivante. Bien évidemment, une équipe incarne les survivants tandis que l’autre, manipule les engeances à bubons



    CONCLUSION

    note: 7 Loin d’être un bête add-on vendu au prix fort, même si on n’en est pas loin, Left 4 Dead 2 relancera sans problème l’intérêt des joueurs étant passés à autre chose, tandis qu’il assouvira l’insatiable appétit des mordus du premier volet. Il est pourtant nécessaire de préciser que son acquisition pour y jouer seul(e) est proscrite, le niveau des bots ne permettant pas de profiter pleinement du solo. Autrement, ses qualités en multijoueur, vous feront passer un agréable moment.

  • Avis sur le jeu IloMilo

    Pépite dont le Xbox Live a le secret, IloMilo  mêle habilement poésie enfantine et casse-tête pour les grands avec des énigmes qui vous retourneront la tête, dans tous les sens du terme.

    Avec ses personnages de tissu, ses décors colorés, ses dialogues et ses musiques enfantines, IloMilo pourrait sembler réserver aux joueurs les plus jeunes ; ça serait bien mal le connaître. Loin des apparences, le jeu exclusif au Xbox Live Arcade et au marketplace Windows Phone se présente comme un renouveau dans l’univers des jeux de réflexion, par son univers déjà, mais aussi par ses mécaniques de jeu.

    Tu me fais tourner la tête avec IloMilo

    Loin de la simplicité des niveaux que peut laisser entrevoir la version d’évaluation du jeu, la cinquantaine de niveaux d’IloMilo nous demande de se faire se rencontrer ces deux personnages attachants dans des décors cubesques en 3D où la gravité n’a pas son mot à dire. Pouvant basculer d’un plan à l’autre en utilisant notamment des flèches rouges disponibles dans certains angles, ou certains cubes spécifiques, les personnages peuvent ainsi marcher sur ce qu’on croyait un mur, ou encore un plafond, le décor pivotant à chaque fois pour nous faciliter la lecture. Rapidement, les niveaux répartis dans quatre univers graphiques différents ajoutent de nouvelles mécaniques et faire se retrouver Ilo et Milo tourne alors bien vite au casse-tête. Si les premiers cubes que l’on portera sur le dos serviront surtout à boucher un simple trou pour atteindre une nouvelle route, les interactions entre les deux personnages seront ensuite indispensables pour permettre à chacun d’avancer à tour de rôle. En effet, les objets ramassés par l’un seront souvent utiles à l’autre et il faudra donc trouver une zone accessible aux deux pour effectuer la transaction. En déployant un cube accordéon verticalement, le personnage situé en hauteur pourra ainsi par exemple le prendre et l’utiliser plus loin comme pont horizontal pour accéder à un nouvel objet ou à une flèche rouge lui permettant de changer de plan et descendre au niveau de son acolyte.

    Déjà complexe sur le papier, cette gymnastique dans l’espace se complexifie également avec différents gêneurs présents dans les niveaux. Un cube espiègle pourra ainsi vous barrer le chemin, un ver vous voler le cube que vous portiez sur le dos, ou encore une cage vivante kidnapper de petits personnages bonus que vous pouvez sauver pour accéder à des niveaux supplémentaires. Un drôle d’animal sera même de la partie dans certains niveaux, mais cette fois pour vous aider puisqu'il pourra vous libérer le chemin en mangeant certains obstacles pour peu que vous le guidiez correctement, ou encore pour vous servir de monture pour atteindre de nouvelles zones.

    IloMilo Ce n’est pas (que) pour les enfants

    Sous ses graphismes colorés et ses musiques travaillées (et avec lesquelles on pourra d’ailleurs jouer dans les menus pour obtenir un succès), IloMilo cache donc un jeu particulièrement accrocheur, mais à la complexité qui en fait un titre loin d’être accessible aux plus jeunes. Heureusement, pour ceux souhaitant jouer en famille, les niveaux peuvent être réalisés en multijoueur coopératif en local (et uniquement en local), chacun contrôlant à tour de rôle son personnage, le joueur passif pouvant toujours agir en contrôlant une sorte de mouche qui pourra trouver de nouveaux objets cachés spécifiques à ce mode deux joueurs. Deux cerveaux ne seront alors pas de trop pour se repérer dans l’espace et trouver les enchaînements à réaliser dans des niveaux de plus en plus grands et surtout de plus en plus tortueux.

    Une fois les quatre chapitres bouclés en une demi-douzaine d’heures déjà, les plus persévérants pourront y retourner pour chercher à ramasser tous les objets et personnages cachés dans les moindres recoins, cette persévérance permettant de débloquer une douzaine de niveaux supplémentaires ainsi que différents bonus agréables, comme un jeu 2D à la sauce 8bits demandant cette fois de gérer les déplacements des deux personnages en même temps, sans les faire tomber dans le vide. Un nouveau challenge qui mettra vos nerfs à rude épreuve.

    CONCLUSION

    Loin des apparences, IloMilo réussit à renouveler le genre des jeux de réflexion et met notre sens de l'orientation dans l’espace à rude épreuve, le tout sous fond de poésie et musiques qui ont le malheur de trotter dans nos têtes une fois la console éteinte. Particulièrement addictif mais terriblement complexe dans certains passages, le jeu bénéficie pour ne rien gâcher d’une excellente durée de vie, surtout pour son prix. Un titre à découvrir pour ceux qui aiment exercer leur sens logique.

     

  • Avis sur Enslaved : Odyssey to the West

    Avec un titre mélangeant les genres, il faut s'attendre soit à très bon jeu, soit à une vraie déception. Surtout quand le dit jeu reprend pas mal de concepts qui ont déjà fait leur preuves et qui sont ici mal exploités, comme les raids dans les montagnes au plus près des étoiles

    comme vu dans cette video de Foix sur Ted talk

    .

    Prenant son inspiration dans « Le Voyage en Occident » on retrouve bien évidement un héros rappelant fortement le Roi des Singes aussi bien par son allure du dit mammifère qu'au niveau de son arme qui n'est autre qu'un bâton extensible, ou bien encore de son nuage lui permettant de pouvoir planer à raz le sol. Monkey, puisque c'est son nom, est donc un passager prisonnier, qui grâce à une inconnue, réussi à s'échapper de sa petite prison avant de devenir l'esclave de la dite inconnue. Cette jolie demoiselle répond au nom de Trip et a eu pour bonne idée de forcer notre héros à la servir et l'aider à rentrer chez elle en utilisant une couronne d'esclave. Cette couronne à pour particularité d'envoyer des décharges au cerveau de son porteur si celui ci, n'obéit pas aux règles du « maitre ». C'est donc forcé et résigné que notre ami Monkey accepte la mission qui lui est imposée et fera en sorte que la jeune fille puisse rentrer au bercail saine et sauve face aux hordes de Robots tueurs. Même si le scénario pourrai faire penser à un Terminator, nous apprécierons la façon dont il est mené, par une mise en scène remarquable et un jeu d'acteur convainquant avec en guest star Andy Serkis ayant déjà joué le rôle du Roi machiavélique dans une autre production de Ninja Theory, Cars 2 sur PlayStation 3 ou Uncharted 2 among thieves .

    Si Trip et Monkey sont donc les deux gros protagonistes de cette aventure, Pigsy fera aussi son apparition. Cet homme porc, affectionnant particulièrement les cochons est plutôt le genre de personnage dont on se serai bien passé. Il représente le boulet que personne ne veut avec une répartie ne collant absolument pas à l'univers du reste du jeu à tel point qu'on ai l'impression que le studio ait été forcé de l'ajouter. Pour le reste, on se concentrera surtout dans la petite complémentarité des deux autres personnages, qui eux, ont vraiment été intégrés dans leur éléments. Par moment vous devrez donner des ordres à Trip pour vous suivre ou faire diversion, à d'autres vous devrez la transporter, d'autres encore, la couvrir le temps qu'elle puisse déverrouiller une porte, tout en gardant à l'esprit que si elle meurt, vous l'accompagnerez aussitôt. Dans l'ensemble, le jeu se veut quand même relativement facile. Tant au niveau des combats au corps à corps, dans lesquels vous utiliserez deux touches pour attaquer ou les combinerez pour lancer une attaque flash ou un balayage, qu'au niveau des phases de plateforme. Ces dernières sont beaucoup trop assistées voir même trop scriptées faisant qu'au final, nous avons plus l'impression d'assister à une histoire interactive plutôt que de jouer à un jeu vidéo. Le pire étant que bien trop souvent les bugs de collisions viennent semer le trouble nous forçant par exemple à prendre bien soin de positionner correctement notre personnage au bon endroit d'un rebord sans quoi, il ne sautera pas sur le suivant mais entamera une roulade dont un mur invisible l'empêchera de tomber de sa plateforme. Vous ne tomberez jamais dans Enslaved : Odyssey to the West ou alors c'est que vous avez deux mains gauches.

  • Avis sur Left 4 Dead 2

    Après un premier volet remarqué, lançant la mode du défouraillage de zombies à la tonne, Valve nous dégaine un deuxième volet à peine un an plus tard. Vraie suite ou grosse fumisterie ?

    Zombies périmés de Left 4 Dead 2

    Mon premier contact avec le soft, à savoir les cinq campagnes proposées, accompagné des bots, aura eu le don de renforcer ce sentiment. L’architecture des niveaux est certe plus fouillée que dans le premier épisode, mais les bots sont, disons-le, passablement cons, et ne permettent donc pas une expérience de jeu optimale. Car s’ils savent tirer sur une pièce de monnaie à 500m, leur manque de réaction et leur tendance à se placer trop souvent devant le viseur en font des boulets. C’est en parcourant le jeu avec d’autres joueurs humains que l’on découvrira le vrai potentiel du titre.

    Sans conservateur ni arôme artificiel


    Jouer entre amis est plus que jamais la meilleure option pour prendre son pied, malgré une difficulté globale réévaluée à la hausse qui requiert une attention de tous les instants. De plus, le contenu de base, plus généreux que celui de son prédécesseur, bénéficie toujours d’une replay value conséquente, que ce soit en mode Campagne ou dans les différents modes d’affrontement. Sachez que le mode solo comprend en plus du mode Campagne, un mode Survie (déjà présent en DLC gratuit sur le premier volet), proche du mode Horde de Gears of War 3, mais aussi le mode Réalisme, très largement pompé d’un mod amateur pour Left 4 Dead sur PC. Si vous êtes masochistes, ce mode Réalisme est fait pour vous. Dès lors, les zombies seront, entre autre, plus résistants aux balles, sauf dans la tête.

    Il a pas l’air frais ton copain


    Si Valve s’est contenté du minimum pour les modes solo, Left 4 Dead 2 marque une étape dans la série, notamment dans sa réalisation, mais plus globalement dans son gameplay. Tout d’abord, la quasi intégralité des niveaux sont traversés de jour, à différentes heures. On dit adieu à Francis, Louis (mon chouchou), Zoey et Bill, pour un nouveau quatuor à la sauce locale. Fini l’environnement urbain, l’histoire de Left 4 Dead 2 se déroule chez les rednecks (les bouseux américains) du Middle-Est U.S. On dirigera donc avec le plus grand plaisir : Coach (un gros black sympathique, et accessoirement mon nouveau chouchou), Nick (looser qui navigue de ville en ville), Rochelle (la working woman) ou encore Ellis (le fournisseur de blagues). Du côté des zombies, on trouve également des nouveautés, en plus des infectés spéciaux déjà présents. Le Jockey a la fâcheuse tendance à sauter sur la tête des survivants pour les amener où il le souhaite, le Charger charge les survivants et a la possibilité de les coincer contrer les murs pour ensuite les fracasser contre le sol, il reste cependant moins puissant que le Tank. Le Spitter, ou plutôt la Spitter, en plus d’être moche et d’avoir un string rose qui dépasse de son pantalon, crache des flaques d’acide. Si toutes ces joyeusetés ne suffisaient pas, la Witch se permet en plus de déambuler à sa guise dans les pièces. La fréquence d’apparition de ces infectés a été accélérée, obligeant les joueurs à composer avec plusieurs infectés spéciaux simultanément, voire carrément deux tanks en même temps.

  • Evolta Robot par Panasonic : Testez le jeu !

    Panasonic vous propose un nouveau jeu écologique permettant de rassembler des joueurs du monde entier.

    La plateforme Evolta robot de Panasonic est un jeu online dont le but est d'accumuler du pouvoir écologique, inviter vos propres amis et mettre en oeuvre votre campagne écologique afin de booster votre environnement fictif écolo.

    Vous serez donc acteur en compagnie de Mr  Evolta le Robot Panasonic, de la première construction de la ville virtuelle sans émission de CO2. Avec le soutien de vos amis , vous pourrez faire la construction de  maison écologique, des voitures électrique et même des moulins à vent ! :

    Au cours du jeu, vous devrez construire de nombreux bâtiments, qui affecteront l’apport en énergie de votre ville, le bonheur des habitants ou la gestion des transports. Soyez acteur et responsable et permettez à cette ville virtuelle d' Evolta City, de devenir la ville écologique du futur.Faites d' Evolta City la ville du futur !

    Défiez les challenges du jeu !

    jeu écologique.JPGVous devrez accomplir des missions au fil du jeu. Ces missions vous permettront de développer votre ville écologique et votre réseau. Les 500 premiers inscrits sur le jeu gagneront des piles écologiques Evolta et ce, pendant 5 ans, afin de contribuer à leur éco-attitude dans le monde réel.

    De plus, les joueurs les plus performants pourront participer à un concours pour remporter un vélo électrique et de nombreux lots favorisant la révolution écologique.

    Découvrez l’avenir de l’énergie !

    Depuis Avril 2011, Panasonic lance la prochaine génération de piles écologique à travers toute l’Europe.

    Pour faire preuve de l'efficacité énergétique des piles écologiques EVOLTA, le robot de Panasonic Mr Evolta a escaladé une corde en moins de sept heures pour grimper sur le Grand Canyon et figure désormais dans le Guinness des records, ce qui fait de lui le N°1 mondial des piles AA les plus endurantes.

    Voulez vous en savoir plus sur Mr EVOLTA et la plateforme ?  

    Inscrivez-vous au jeu et jouez dès maintenant sur le site du jeu Panasonic  : https://www.youtube.com/watch?v=ncmaBC30w5k

     

  • Avis sur le Jeu : Nier

    jeu NIER.JPGLes différentes sorties de Square Enix nous laissent perplexes pour une future acquisition de jeu du mois, à la rédaction nous nous sommes penchés sur le très mystérieux NieR. Un soft mélangeant action et aventure donnant lieu à un univers mystique.

    L'aventure débute avec un héros pragmatique laissant apparaître un visage déconcertant de douleur et de tristesse. Sa jeune fille Yonah, atteinte d'une maladie incurable appelé " la nécrose runique", deviendra la quête absolue de notre héros. La première partie de l'histoire est datée de 2040, un univers post-apocalyptique qui laissera vite s'oublier, puisqu'on se retrouvera 1300 ans plus tard, sur des terres sauvages occupées principalement par des adversaires peu conventionnels, "les ombres".

    Square Enix a mis en place un système de combat issu des beat'em all, disparaissant pour le jeu d'action/aventure. De multiples quiétudes se posent aux yeux des joueurs, c'est pourquoi on a décidé de tout vous expliquer dans ce test. On pourra retrouver au cours de notre voyage plusieurs villages fortifiés pour endiguer toute attaque des Ombres. Ils seront très animés par les multiples PNJ qui s'y trouvent et qui auront la chance de discuter avec votre personnage. Les premiers heures de jeu vous laisseront entrevoir une histoire d'un père, essayant de trouver absolument un remède pour soigner sa fille. On ira discuter assez régulièrement avec Popola, la chef de village ou responsable bibliothécaire, malheureusement on ne saura pas grand chose sur sa fonction première. On nous projettera dans une trame principale assez enthousiasmante et nous laissera découvrir des terres sauvages indomptées par la main de l'homme.

    Une fois l'aventure légèrement progressé, on aura la chance de remplir des quêtes secondaires, se trouvant très nombreuses à la fin du jeu. La plupart des PNJ les proposant vous demanderons d'aller cueillir des fleurs, de tuer des Ombres géantes ou de retrouver des personnes disparues. Celles-ci terminées, ils vous récompenseront avec des galds, et la plupart seront plutôt généreux. Mis a part les quêtes annexes, on aura le plaisir de s'octroyer différentes armes plus redoutables et dangereuses les unes que les autres. Celles-ci pourront être upgradées à l'aide de matériaux récupérés sur les cadavres ou dans des coffres destructibles à coup d'épées ou de masses. Les développeurs nous laissent le choix entre trois types d'armes : les armes à une main, très simples à manier, mais trop faibles ; l'arme à deux mains, celles-ci seront plus lentes, mais auront en contrepartie une puissance destructice et pour finir les armes hasts, des lances de combats mais qui seront vite oubliées au fil de l'histoire.

    Ne vous inquiétez pas, les armes blanches ne seront pas le seul atout de notre héros. Un allié de poids appelé "Grimoire Weiss", un livre magique et d'une insolence déconcertante, nous fera profiter de ses multiples pouvoirs. Ces derniers seront décuplés à chaque boss terrassé et laissera place à des cut-scènes, laissant entrevoir la colère de notre héros jumelée à la furie magique de Weiss. Tout cela sera certainement très poétique et laissera sans voix les lecteurs, mais la question qui se pose maintenant c'est "comment ?". L'acquisition de nouveaux pouvoirs se fera graduellement en outre comme cités plus haut, mais aussi en explosant un grand nombre d'ennemis sur les terres sauvages. NieR nous propose un level up comme tout RPG classique, la seule différence est que l'acquisition de niveau augmentera seulement la jauge de vie et de magie.

    L'aspect graphique rebutera plus d'un joueur, laissant la sensation d'une grande solitude sur la première zone de combat qui est la plaine de Laire. Le côté graphisme sera l'un des gros points faibles de Nier. Heureusement, les attaques magiques laisseront place à des giclées de sang qui viendront joncher le sol. Les Ombres seront sans nul doute un poil décevant mais s'oubliera très vite au fil des heures passées dessus. Le character design laissera lui aussi un léger goût amer, souvent très peu soigné. Cet énorme point négatif fait mesure égal avec l'ambiance sonore, un excellent OST qui nous laissera rêveur sur les atrocités des différents dénouements de l'histoire.

    NieR respecte les différents aspects d'un jeu d'action/aventure, et laissera au joueur la possibilité d'avoir plusieurs fins différentes. L'histoire sera présentée en deux chapitres distincts, malheureusement on ne pourra pas vous en dire davantage, pour ne pas gâcher la fin du jeu. Il faudra néanmoins pas loin d'une trentaine d'heures pour finir l'histoire en normal. Comptez une quinzaine d'heures supplémentaires pour augmenter votre héros au maximum et finir les nombreuses quêtes annexes.

     

    • Editeur : Square Enix

    • Développeur : Square Enix

    • Type : Action / Aventure

    • Sortie France : 23 avril 2010

    • Classification : Interdit aux - de 18 ans

    • Multijoueurs : Non

     

  • Fin du test de Rock Band the Beatles Xbox 360

    La progression dans le titre se fait par l'intermédiraire de 8 chapitres, qui proposent de retrouver différents lieux de concerts/enregistrements, qui ont marqués l'histoire du groupe. Encore une fois, sans connaitre le groupe, on entre vraiment dans le jeu, et chose qui n'était jamais arrivé dans un jeu musical, le sentiment d'avancer dans une histoire. Le style musical des débuts change très vite pour évoluer vers quelque chose d'assez spirituel (surtout avec les sons de cithare), pour ensuite devenir quelque chose entre du Queen, de l'Oasis, voir même du rock un peu plus dur dans les derniers morceaux. Cette immersion est renforcée par l'évolution physique et vestimentaire du groupe, ainsi que par les différentes photos et vidéo que l'on débloque en progressant dans le jeu. Chaque document est commenté, et nous pousse de plus en plus dans le groupe, dans leur histoire.

    Concernant le gameplay, rien de nouveau en ce qui concerne la partie guitare, basse, batterie. Pour la partie chant, le titre propose 2 options. Une première classique de chant en solo, une seconde de chant en quatuor, pour coller encore plus au style du groupe. Reste qu'il vous faudra trouver 3 personnes n'ayant pas peur du ridicule, le micro étant la partie que peu souhaitent assumer. L'ensemble des instruments déjà disponibles sont bien entendu compatibles avec ce titres, les instruments sortis pour l'occasion ne sont donc pas obligatoires, même si jouer avec la basse de Mc Cartney doit être assez agréable.

    Petite mention spéciale pour ceux qui auraient "peur" de sa lancer dans ce type de jeux par rapport à leur difficulté. Ce rock band est peut être la meilleure façon de débuter, les morceaux proposés sont relativements simples, même dans les niveaux les plus élevés. Visant avant tout un public de joueurs fan du groupe, il serait pourtant dommage pour les autres de passer à coté. Ce titre est tout simplement le meilleur spin off disponible. Dommage cependant que certains titres ne soient disponibles qu'en DLC (payants) surtout que ces derniers font bien souvent partie des plus gros succès du groupe (let it be, all you need is love...)

    A venir : une vidéo maison de I'm The Walrus, à la basse, le tout en difficile. ( par avance désolé pour la vidéo un peu sombre, je suis encore en réglage...).