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zero infinite - Page 4

  • Test de Dragon Ball, Legacy of Goku 2

    Goku, Gohan, Vegeta, Piccolo, Trunks et Satan sont les héros que vous allez incarner dans ce nouveau rendez-vous vidéo ludique. Legacy of Goku 2 (Héritage de Goku in french in the text), toujours très fidèle à la série DBZ, reprendra l’histoire exactement là où vous l’aviez laissé dans le premier opus. Si les bases du premier sont restées, les développeurs ont toutefois eu la bonne idée d’apporter quelques améliorations. Mais attention, car le jeu n’est toujours pas parfait.

    Dragon Ball, série d’animation à succès qui compte le plus d’épisodes (environ 600 en comptant DBZ et DB GT), a toujours été une source d’inspiration privilégiée pour les développeurs et éditeurs du titre. Bandai, l’éternel acquéreur de la licence au Japon, a sorti une bonne vingtaine de titres sur toutes les consoles qui ont pu voir le jour (mis à part la Neo Geo Pocket… et une ou deux autres plates-formes inconnues du grand public) et continue encore aujourd’hui a exploiter la licence alors que la série est finie et que Goku est parti avec Shenlong (le grand dragon qui exauce les vœux)… C’est ainsi que Budokai est adapté sur Gamecube a peu près en même temps qu’un second jeu de combat devrait voir le jour sur PS2 et que 2 jeux sont arrivés sur Gameboy Advance. Et c’est justement du second dont nous allons parler aujourd’hui.

    - Pas trop dur le scénario

    Pour ceux qui n’auraient pas eu « la chance » de jouer au premier Legacy of Goku, sachez que ce dernier reprend strictement toute la première partie du scénario de DBZ : Radditz, le frère de Goku, arrive sur Terre, enlève Gohan, Goku récupère son fils mais meurt dans l’opération, puis va au Paradis d’où il repart pour arriver quand Vegeta débarque à son tour sur Terre juste avant que la menace Frieza pointe le bout de son doigt. Goku part pour Namek pour tuer Frieza et ses alliés… Et voilà, c’est fini ! Et c’est alors que commence le second Legacy of Goku, celui qui nous intéresse plus particulièrement. Vous commencez d’abord avec Trunks, encore jeune, dans son futur alternatif détruit par les cyborgs du Dr Gero. Son maître est Gohan, lequel n’a plus qu’un bras suite à une altercation avec lesdits robots. Il vous apprend alors les bases : le bon vieux coup de poing et le lancer de boule d’énergie. Très efficace.

    Apres une légère introduction, tirée de Trunks Story, vous vous retrouvez dans la peau de Gohan. Trois ans ont passé depuis la défaite de Frieza et Gohan s’impatiente de revoir son père. C’est alors que Trunks (légèrement plus vieux que lors de la présentation) arrive, tue Frieza et son père de retour de Namek. Goku en profite également pour revenir sur Terre. Et c’est ainsi que démarre la saga de Cell qui vous emmènera au travers de tous les épisodes de DBZ : la découverte de la capsule temporelle de Cell, la destruction de C19 et C20, le réveil de C16, C17 et C18, l’entraînement au domaine de Dieu, l’assimilation de C17 et C18, la quête des Dragon Balls pour ressusciter toutes les victimes de Cell et enfin le Cell Game.

    - 6 personnages jouables !

    Entrons maintenant dans le jeu à proprement parler. Legacy of Goku 2 est, comme son prédécesseur, un jeu d’action en 2D mâtiné de quelques facettes RPG. Comparable à un Zelda en plus simple encore, vous devrez parcourir des niveaux pour atteindre un objectif. Vous aurez une trentaine de missions à remplir, la plus simple étant de retrouver le livre de math de Gohan, la moins facile étant de retrouver tout au long du jeu plus d’une vingtaine de capsule dorée. Durant l'aventure, vous rencontrerez des ennemis et des boss (ces derniers intervenant au gré du scénario original de la série) et les battre vous permettra d’acquérir des points d’expérience, lesquels servent à faire augmenter votre level d’expérience. Une routine donc ! Contrairement au premier opus où vous ne dirigiez que Goku, vous aurez le droit de contrôler 5 personnages (Goku, Gohan, Trunks, Vegeta et Piccolo), plus Satan si vous arrivez à acquérir l’ensemble des objets nécessaires pour le débloquer. Vous pourrez augmenter le level d’expérience de chacun d’eux indifféremment.

    Mais attention toutefois car des portes avec des numéros vous bloqueront durant votre quête : ces portes sont faites pour garantir que vous avez le niveau d’expérience requis pour ne pas mourir à la prochaine rencontre.

     

     

  • Civilization III - TEST

    Voilà qui va ravir les fans de stratégie à la mode civilization, le voilà enfin arrivé sur nos écrans, j’ai nommé le très attendu Civilization 3. Voilà l’un des titres phares de cette année, qui nous remet donc en selle après cinq ans passés sur le deuxième volet. Alors bien sûr, ce nouveau titre de Sid Meier est attendu au tournant, d’autant plus depuis la sortie des deux Call To Power qui contestent la suprématie des Civilization. Attention donc, chaud devant...

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    Après plusieurs mois d’impatience à attendre la sortie du titre en France (déjà disponible outre-atlantique depuis octobre), enfin devant nous se dresse la boîte de Civilization III sur laquelle on nous promet monts et merveilles. On déchire l’emballage d'un coup vif et rapide, on se jette sur le cd et l'on procède à l’installation. Allez, tout est prêt, on se lance enfin!

    Pour ceux qui n’ont jamais connu la joie de jouer à Civilisation, le passage par le didacticiel est indispensable pour appréhender tous les tenants et aboutissants du jeu. Pour les autres, il n’y a aucun problème à se jeter directement dans la gueule du loup et aborder sans plus de préparation le vif du sujet. L’interface est très claire, aussi bien quand il s’agit de gérer les villes ou les unités. Les menus déroulants ont laissé place aux boutons et c’est tant mieux. Bref, aucun problème de prise en main n'est à déplorer et pour une fois, on se ballade gaiement dans l’interface en appréciant sa qualité de finition (ce n’est malheureusement pas toujours le cas). Si malgré tout, vous vous sentez quelques peu perdus, retournez voir la boîte du jeu, oui regardez vous avez laissé de côté, dans la précipitation, le beau manuel de 236 pages. Ne cherchez plus, vous avez trouvé votre livre de chevet pour les semaines qui viennent !! Et vous verrez, vous allez en apprendre des choses!

    construire notre civilisation

    Bon. Une fois cette phase d'adaptation réussie, il est temps de passer aux choses sérieuses : construire notre civilisation. Tout d’abord, il va falloir choisir son camp : Français (pour être chauvins), Zoulouland (pour le dépaysement), Américains (vive la puissance), à vous de voir mais attention chaque nation (parmi les seize proposées) possède ses propres caractéristiques et même une unité spéciale.

    Une fois ce choix décisif fait, on se retrouve avec un petit colon (fondateur de ville) et un travailleur (creuser, défricher, irriguer c’est son métier) sur une grande et jolie carte. Oui car une première constatation s’impose, même à ce stade du jeu, les graphismes n’ont aucune comparaison avec Civ 2 même si cela reste de la 3D isométrique. C’est beau et net: on repère facilement les différents types de terrain et unités, c’est finalement tout ce que l’on demande dans un jeu de stratégie comme Civilization.

    Avant de dominer et conquérir le monde, on commencera par construire une seule ville. Il suffit de trouver l’endroit idéal et voilà, notre civilisation vient de naître. Tout de suite on se prend au jeu, on construit des unités, des routes, des mines, on irrigue, on améliore les villes, on construit des merveilles, on fait de la recherche, bref, lorsque que l’on décolle de l’écran pour la première fois on a la surprise de voir que bien des heures ont passé ! C’est bien du Civilization, et on retrouve le même plaisir de jeu. Au bout de ces quelques temps passés devant le titre, on est à même d’apprécier les quelques nouveautés que l’on a pu rencontrer.

    Trouver des ressources : or, gold, crédits

    En observant la carte avec des yeux d’expert on remarquera en effets des icônes de ressources. Celles-ci parsemées sur la carte peuvent être de trois sortes: d'abord les ressources bonus qui améliorent la production de votre ville (soit de nourriture pour le blé, le bétail, etc... ou de revenus avec l’or). Ensuite, les produits de luxe qui amélioreront la satisfaction de vos citoyens (vin, diamants, épices, soie, etc...) Et des citoyens heureux ce n’est pas toujours facile à avoir !

    Et enfin, mais non les moindres, les ressources stratégiques qui autoriseront la construction d’unités particulières (par exemple il faudra trouver des chevaux pour pouvoir faire des cavaliers) ou permettre le développement (le charbon, le pétrole, l’uranium, l’aluminium, or, crédits ).

    Ces ressources n’apparaîtront sur la carte que lorsque les technologies nécessaires à leur utilisation auront été découvertes. Les civilisations les plus avancées technologiquement pourront donc installer plus rapidement des colonies pour exploiter ces ressources indispensables à l’expansion et s’ouvrir ainsi les portes d’un commerce florissant.

     

  • Test de Sports Champions sur PS3 - suite

    Le disc-golf, sport consistant à jouer au golf à l’aide d’un frisbee, était déjà présent dans Wii Sports Resort et fait là aussi une apparition remarquée. Maniable, fun et facile à prendre en main, il devrait plaire à toute la famille. Il n’apporte cependant pas grand chose par rapport à la concurrence, le titre de Nintendo retranscrivant déjà très bien les sensations offertes par cette discipline. Il reste malgré tout une distraction agréable lorsqu'on a besoin de souffler entre deux matchs de volley.

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    Pour compléter la liste des épreuves communes à Sports Champions et Wii Sports Resort, il nous reste à aborder le tir à l’arc. Tout d’abord, sachez que celui-ci se joue avec un ou deux Moves. Si vous n’avez qu’un accessoire, il vous permet de prendre une flèche dans votre carquois, puis de viser et tirer. Un deuxième Move offre la possibilité de simuler l’arc, ce que fait le Nunchuk chez Big N, et donc d’ajuster votre visée pendant que l’autre tient la corde. Si la facilité à faire mouche ne dépend pas vraiment du nombre de Move disponibles, l’immersion est bien meilleure lorsqu’on est l’heureux possesseur d’une paire de contrôleurs. À noter que le tir à l’arc est l’épreuve qui a le plus de variations puisqu’il est possible de tirer sur des cibles mouvantes, des fruits, de jouer au morpion ou de simplement s’amuser avec des cibles fixes de façon classique. Tout comme le disc-golf, il s'agit d'ultra classique mais la possibilité de jouer à deux en même temps apporte une bonne dose de fun.



    Ou plutôt boules et corps huilés ?

    Parmi les attractions les plus inattendues, la pétanque tient une place de choix. Ce n’est pas vraiment le genre d’activité à laquelle on s’attendait dans une compilation sensée nous donner envie de bouger. Si certains seront ravis d’y voir une bonne excuse pour siroter une boisson anisée, d’autres se concentreront un peu plus sur le défi offert par le terrain qui ne se limite pas au classique bac à sable. En effet, nous avons affaire à une sorte de pétanque "sauvage" qui se joue sur des terrains en pente ou remplis d’objets pouvant gêner le jeu. Ainsi, il faudra souvent trouver un moyen de contourner une poubelle ou un banc pour approcher ses boules du cochonnet. Ce n’est pas l’activité la plus passionnante, ni la plus nerveuse, mais on y trouve du plaisir tout de même sur de courtes sessions, sachant que le Move suit bien nos gesticulations.

    Pour terminer le tour d’horizon des six épreuves disponibles, il est temps de passer à la plus originale et la plus ratée. Les combats de gladiateurs sont jouables à un ou deux Move, sachant que dans le second cas, l’un contrôlera l’arme et l’autre le bouclier. Pour faire simple, les coups sont imprécis, le rythme totalement mou et la jouabilité est à revoir. On arrive difficilement à évaluer la distance ou la puissance de frappe et parfois, il suffira juste de frapper dans les jambes pendant tout le combat pour l’emporter. Quelques coups spéciaux sont sensés venir rendre le tout plus dynamique, mais on s’ennuie ferme. Même les bonnes choses comme la garde et la parade pouvant entrainer la destruction du bouclier ne suffisent pas à sauver ces combats de la palme de l’épreuve la plus désastreuse.



    Ceci n’est pas un Mii

    La preuve la plus flagrante que Sony veut se démarquer de Nintendo et Microsoft provient des graphismes. Effectivement, si on a déjà vu que Sports Champions offrait un défi plus important que le party game de base, les graphismes sont plus réalistes que chez ses concurrents. Les personnages utilisés comme avatars sont à peine déformés, tout au plus, on aura un cow-boy avec des bras larges comme des cuisses. Les décors sont colorés et très agréables à l’œil dans la majorité des cas sans tomber dans le flashy ou le fluo. Graphiquement, le jeu est donc à l’image du reste du contenu, pas follement original, mais largement au niveau de ce qui se fait chez la concurrence tout en se tournant vers ceux qui veulent autre chose que des Miis ou Avatars évoluant dans des environnements aux couleurs parfois trop criardes.

  • Test de Sports Champions sur PS3

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    C’est désormais la tradition, chaque nouveau contrôleur à détection de mouvement doit s’accompagner de son jeu de sport. C’est aussi un très bon moyen de se positionner face à la concurrence avec un jeu d’un genre commun. Le PlayStation Move ne déroge pas à la règle et s’est donc présenté en magasins accompagné de Sports Champions. Il est temps de voir ce que ce titre propose aux sportifs de salon et par la même occasion de vérifier si le bâton de Sony est si magique que l’annonce son constructeur ou le magazine  xvdesgaulois ...

     

    Six sports + un bâton lumineux = Du fun ?

    Ce Wii Sports façon PlayStation Move vous offre le choix entre six sports plus ou moins originaux : le ping-pong, le tir à l’arc, le beach-volley, le disc-golf, les combats de gladiateurs et la pétanque. Une liste qui a de quoi surprendre au premier abord. Avant de nous aventurer dans les disciplines les plus exotiques, intéressons nous au classique ping-pong. En effet, le tennis de table est la seule discipline que l’on retrouve dans les jeux de sports de chaque constructeur. À ce niveau, Sports Champions gagne haut la main sur toute la concurrence. Le PlayStation Move fait ici preuve de toute son efficacité. Loin de la latence et de l’imprécision de Kinect Sports, nous avons affaire à un jeu de ping pong où le moindre mouvement est parfaitement retranscrit, force comprise. Si Wii Sports Resort se débrouillait déjà bien, Sports Champions va encore plus loin. La distance entre le pongiste et la table doit être gérée et les effets ont une véritable importance, tout en étant bien plus complets que dans le titre de Nintendo, offrant ainsi un réalisme et un défi accrus.

    En sus d’une reconnaissance exemplaire, Sports Champions offre donc un défi aux joueurs qui veulent vraiment s’investir. Il ne s’agit pas simplement de mimer des mouvements de raquette, mais de jouer un véritable match dans son salon. Chaque épreuve en solo est découpée en trois coupes, bronze, argent et or. Si la coupe de bronze peut-être remplie par tout le monde, à partir de l’argent, les choses se corsent. Au fur et à mesure, le jeu vous apprend les subtilités pour jouer et le niveau s’élève. Autant vous dire que si vous n’êtes pas très à l’aise avec certains sports, il sera difficile d’aller jusqu’au bout de l’or. On l’aura compris, le PlayStation Move en a dans le manche et répond très bien, au moins sur le tennis de table qui est devenu un mètre-étalon pour les titres du genre, mais pour faire un bon soft, il en faut plus, qu’en est-il des autres épreuves ?

    Plage, frisbee, et flèches ?

    Pour continuer sur la liste des réussites du titre de Sony, il est obligatoire de faire un détour par le beach-volley. Particulièrement dynamique, ce sport de plage en deux contre deux vous demandera d’apprendre de nombreuses actions. Vous pouvez faire des manchettes et des passes pour les smashs en mimant ce que vous feriez dans la réalité avec une grande réussite. Le smash se fait en sautant légèrement et en inclinant le bras, sauf si vous optez pour le lob grâce à un petit coup de poignet astucieux. Si vous avez des voisins qui n’apprécient pas de vous entendre bondir en pleine nuit, sachez que plier les jambes, puis se redresser brusquement suffit à mimer le saut, même chose pour le contre au filet. Il vous arrivera aussi de devoir plonger pour attraper un ballon. Pour ce faire, il suffit de tendre le Move dans la direction voulue. Enfin, le service peut se faire smashé ou à la cuillère, là encore en mimant le mouvement à l’identique.

    Cette épreuve devient vraiment physique lorsqu’on arrive dans les dernières étapes de la coupe d’argent où il faut maîtriser les différentes actions du mieux possible et où les échanges sont très intenses. On rentre très vite dans la partie et l'action ne cesse jamais vraiment. Un jeu vraiment plaisant auquel on revient souvent pour le plaisir.

  • TEST XBOX 360 - Prison Break : la résurrection de la série TV ?

    Sorti il y a quelques jours en magasins, Prison Break The Conspiracy compte bien tenter de séduire les fans de la série TV culte. Si vous avez tremblé en compagnie de Michael Scofield, le jeu vidéo vous fera-t-il le même effet ? La réponse.

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    Prison Break The Conspiracy vous invite à la prison de Fox River en compagnie de l'ami Michael Scofield. Ce n'est néanmoins pas le beau gosse de la série qui s'est achevée l'année dernière que le jeu vous invite à incarner. Ici, vous vous glisserez dans la peau de Tom Paxton, un agent du Cartel, une organisation secrète, chargé de comprendre ce que cherche à faire Michael Scofield dans cette prison. Evidemment, tous ceux qui ont vu la première saison de Prison Break ne seront pas surpris puisque le scénario est identique. Seul le point de vue change ici. On retrouve donc les différents protagonistes de la série de T-Bag à John Abruzzi en passant par le frangin de Michael, Lincoln. Intégralement doublé en français, ce jeu d'action et d'infiltration se suit donc comme le remake d'un épisode dans lequel on interagit de temps à autre. Qu'il s'agisse des phases de combat ou bien de celles d'infiltration, tout se fait à minima.

    Comprenez que les combats vous proposent deux coups de poing différents (pas de coups au sol ce qui est un brin curieux) et que les séquences d'infiltration se situent à des années lumières de celles d'un Splinter Cell dont la sortie en magasin est proche. Ajoutez à cela une jouabilité imparfaite et vous aurez alors une idée assez complète du tableau. Bref, pas de quoi s'extasier sur Prison Break Conspiracy qui ravira sans doute les inconditionnels de la série TV ou les fans de Wentworth Miller , même si ceux-ci ne seront à aucun moment surpris par l'intrigue.

  • Test du jeu Fable : The Journey - fin

    comme dans les précédents Fable, chaque ennemi en moins vous rapportera des points d’expérience, qu’il vous sera possible de dépenser pour upgrader vos sorts ou votre cheval.

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    Votre fier destrier, enfin votre cheval de trait plutôt, vous suivra tout au long de l’aventure. Sa gestion passant aussi par Kinect, elle ne sera pas facile à diriger dans les premiers temps. Il vous faudra « simplement » reculer votre bras droit ou gauche, pour que le cheval aille dans cette direction. Je mets simplement entre guillemets, car elle aura tendance à foncer dans le mur ou vers le ravin, plutôt que de se déporter légèrement. Sans doute un souci de gestion de Kinect, ou je ne suis pas douée (ce qui est très plausible aussi !). On a également la possibilité de la faire passer du trot au galop en donnant un coup de rennes, comme si nous la dirigeons réellement. On rapproche les rennes de nous, et elle s’arrête (enfin, quand elle le veut bien !). Lors des moments de repos de notre héros, on pourra jouer à Léa Passion Poney, en la nettoyant, en lui donnant des pommes, et en lui faisant couler de l’eau. Je te vois sauter de joie d’avance ! Plus sérieusement, un truc chouette, c’est qu’on aura parfois l’occasion d’utiliser la reconnaissance vocale avec elle. On l’appelle et elle vient. Oui, c’est tout simple et inutile, mais comme toute chose inutile, j’adore ça !

    Finissons par le côté technique du jeu. Fable The Journey n’est pas une claque graphique, mais il est quand même bien agréable à l’œil. Ca se voit qu’il est plus beau que le précédent, le style des graphismes est plaisant et bien coordonné avec l’univers de Fable. Petit bémol en revanche en ce qui concerne les cinématiques, une sorte d’effet de flou a été rajouté et  vient un peu gâcher le tout, alors que les graphismes sont les mêmes qu’in-game.
    Pour les fans de la première heure, on retrouve le même style musical et surtout le même humour de situation et dans les dialogues de PNJ que dans les précédents opus. J’ai eu l’occasion de tester le jeu en version originale, et les voix collent très bien avec l’univers, avec un accent anglais / écossais / irlandais, je ne sais pas lequel, mais très agréable à entendre !

    Fable The Journey n’est peut-être pas le jeu du siècle, avec une histoire des plus simples et surtout avec l’utilisation de Kinect, mais il n’en reste pas moins un jeu sympathique pour tous ceux qui aiment se promener en Albion, dans l’attente qui sait d’un Fable 4 !

  • Test Xbox 360 du jeu Fable : The Journey

    Après un Fable 2 grandiose, ainsi qu’un Fable 3 en demi-teinte, voilà que la licence chère à Peter Molyneux revient dans nos contrées. Enfin, plus ou moins. Pour ce nouvel opus, appelé « Fable The Journey », on dit au revoir à M. Molyneux, et on dit surtout bonjour à Kinect !

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    Déjà, petit cours d’anglais rapide pour les anglophobes : « The Journey » signifie « le voyage », et non pas la journée. Avec ça, vous comprendrez un peu mieux le jeu.

    Je vous dis ça car notre protagoniste, répondant au doux nom de Gabriel, fait partie d’un convoi de charrettes … Charrettes, voyage, vous voyez ? Bref ! Nous incarnons donc ce garçon quelque peu distrait, préférant prendre du retard sur les autres pour s’occuper au mieux de sa jument, Seren. Cependant, le chef de la troupe nous rappelle vite à l’ordre, et en route pour rattraper le convoi. Le temps d’apprendre les rudiments de la conduite d’un tel véhicule, et nous voilà arrivé en queue de peloton. Vous vous rappelez que notre héros est distrait ? Cette fois-ci, il trouve le moyen de s’endormir au « volant » de sa charrette ! Mais, pas de chance pour lui, un orage éclate, détruit un pont, le séparant ainsi de ses compagnons. Forcé de prendre un autre chemin, il va rapidement faire la connaissance d’une certaine Theresa, voyante de son état, en proie avec un monstre des plus étranges. Et c’est ainsi que le voyage commence.

    La grande nouveauté dans ce nouvel opus de Fable, c’est la jouabilité uniquement possible avec Kinect. Certains peuvent trouver ça dommage, mais le jeu a été entièrement créé autour de l’utilisation de Kinect, ça aurait perdu tout son intérêt à la manette. Kinect nous permet donc de contrôler son cheval (j’y reviendrais plus tard), ses sorts, on peut ouvrir des coffres, parer les attaques, etc etc … Tout donc, ou presque, car nous ne contrôlons pas les pas du héros. Il ne fera appel à nous pour se déplacer que durant les combats, pour se décaler à droite ou à gauche.

    La détection des mouvements est assez bonne, mais il faut quand même un petit temps d’adaptation pour bien maîtriser la bête !

    Nous avons à notre disposition deux sorts : une sorte de lasso dans la main gauche, et un sort d’attaque pour la main droite. Le lasso permet d’agripper un ennemi, soit pour l’immobiliser pour mieux lui lancer le sort d’attaque, soit permet de l’envoyer dans les airs. Le sort d’attaque, comme son nom l’indique, sert à attaquer l’adversaire. Là, deux possibilités s’offrent à nous : on peut simplement l’attaquer de front, soit envoyer le sort à l’opposé, puis le renvoyer sur l’ennemi, si celui-ci est caché par exemple.

    Je vous avoue qu’étant droitière, j’ai eu plus de mal à utiliser le sort de la main gauche, le cas doit être identique pour un gaucher. Attention toutefois à ne pas faire de gestes trop brusques, car malgré le fait que le jeu se joue assis (une première pour Kinect), vos bras feront vite sentir qu’ils sont mis à contribution (dit celle qui a mal aux bras depuis une semaine !). Nous avons également la possibilité de parer les attaques des adversaires en mettant notre bras devant notre visage, comme si l’on se protégeait réellement de l’attaque !