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zero infinite - Page 4

  • Test - Yu-Gi-Oh! 5D’s World Championship 2010 Reverse of Arcadia

    Qui ne connaît pas la célèbre série animée Yu-Gi-Oh!, qui fait également le bonheur des jeunes dans cours d’école par le biais d’une collection de cartes à jouer très populaire ? Mais au delà de ces deux supports, Konami -détenteur des droits d’exploitation vidéoludique- propose aussi de façon régulière, des jeux vidéo inspirés de l’anime. L’occasion de prolonger un peu l’expérience, pour les fans…D’ailleurs, il est bon de noter que cette version DS comprend trois cartes du jeu officiel « 5D », en édition limitée bien entendu…

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    Un challenge à la hauteur

     

    Même si il semble quasiment inutile de signaler que ce Reverse of Arcadia se pré-destine -comme tous les précédents jeux vidéo Yu-Gi-Oh!- d’avantage à un public d’initiés, nous nous devons de prévenir celles ou ceux qui, pris d’une soudaine envie de s’essayer à Yu-Gi-Oh, seraient sur le point d’acheter pour la première fois un jeux vidéo basé sur la série. Oui, car pour un novice, les phases de combats en versus avec les cartes à jouer se montreront très difficiles d’accès, ce dès l’entraînement obligatoire proposé assez tôt dans l’aventure.

    Pour ces courageux joueurs, un passage par la notice du « soft » et le tutorial (plutôt bien fait) semble juste primordial. Mais même après ces étapes, il restera compliqué de réagir correctement face à l’adversaire, ce dernier ayant toujours une bonne secrète à nous rétorquer. Des parties plus subtiles qu’il n’y paraît, qui feront cependant le bonheur des joueurs avertis, notamment grâce à la présence de plus de 3500 cartes…De plus, malgré le système de tour par tour, les affrontements demeurent rythmés et intéressants, le hasard ayant toujours son mot à dire dans les parties. On trouve de nombreux combattants aux pouvoirs toujours surprenants, ainsi qu’un grand nombre de cartes magiques et autres pièges à utiliser avec intelligence, toujours en essayant d’avoir une vision du jeu sur le moyen terme. L’anticipation sera clairement prépondérante…

    Du reste, si cette facette constitue le principal intérêt de Reverse of Arcadia, deux autres phases viendront apporter un soupçon de variété à l’aventure. Le jeu démarre en effet dans Satellite, un quartier peu recommandable de New Domino City. Cette première étape se présente dans une vue de dessus ¾, comme cela pourrait être le cas dans un classique jeu d’aventure. L’écran du dessus vous présentera une carte des lieux tandis que vous pourrez interagir sur l’écran du bas à l’aide de votre stylet. Le déplacement du personnage se fera d’ailleurs au choix, avec les commandes classiques ou le stylet. Une représentation des décors en 2D de qualité assez honorable, malgré une sensation de vide omniprésente dans les premiers niveaux.

    Ceci étant, les couleurs proposées n’agressent pas nos mirettes, dans un aspect général relativement fin et même agréable à regarder. On apprécie aussi la modélisation des personnages en 3D, ces derniers étant par ailleurs parfaitement animés et agrémentés de détails visuels faisant honneur à la console. On trouvera même des décors carrément somptueux au fil de la progression.

  • test de Guitar Hero II

    Avec la franchise Guitar Hero, Activision, RedOctane et Harmonix ont carrément frappé le « jackpot ». Le premier volet, lancé exclusivement sur PlayStation 2, a lentement pris son envol et il s’est par la suite retrouvé au sommet des palmarès pendant plusieurs mois. Le second volet a profité de cette vague pour connaître un succès encore plus retentissant sur la console de Sony. Cette année, il débarque enfin sur une console de nouvelle génération et il s’adonne qu’il s’agit de la console de Microsoft, le Xbox 360. Nouvelle guitare, plus de chansons et meilleurs graphiques sont les ingrédients ajoutés et la recette finale est toute aussi délicieuse, quoiqu’impitoyable pour les doigts.

    guitar.JPG    Le concept de Guitar Hero II est simple : guitare dans les mains, le joueur doit suivre du mieux qu’il peut les notes de couleurs qui défilent à l’écran en appuyant sur les frettes de la même couleur (qui remplacent les cordes). L’immersion est donc très grande et il est très tentant de se prendre pour une vraie rockstar. Sur Xbox 360, la nouvelle guitare-jouet est une réplique de la Gibson X-plorer. Personnellement, je crois qu’elle est de meilleure qualité que la Gibson SG, quoique très légèrement. Elle souffre par contre d’un problème que certains qualifieront de majeur : ce n’est pas une guitare sans fil. Pour ma part, ça ne me dérange pas. Après tout, toutes les vraies guitares électriques ont des fils…

         Ceci étant dit, sans une bonne trame sonore, un jeu comme GH II n’aurait pas le même intérêt. Puisque tout est une question de goût, certains trouveront que les chansons du premier Guitar Hero étaient meilleures. C’est mon cas, mais plusieurs pièces de ce volet sont excellentes. De plus, la diversité est impressionnante, alors que toutes les décennies sont couvertes et que plusieurs styles de rock se côtoient. Des Rolling Stones à My Chemical Romance, en passant par The Police et Nirvana, il est certain que chacun y trouvera son compte. De plus, étant donné que presque toutes les chansons sont des succès populaires, le party lève facilement en compagnie d’amis. La version Xbox 360 ajoute une dizaine de chansons par rapport à la version précédente, notamment The Trooper de Iron Maiden et Life Wasted de Pearl Jam. Je doute toutefois que ce soit assez pour inciter ceux qui possèdent déjà la version PS2 à se procurer celle-ci.

     

  • jeux de la semaine - suite

    Mais comme ce n'est pas l'une de mes préocupations, voici quelques exemples de morceaux :
    -Pokemon
    -Fable (ou on s'est demandé de quel instrument on jouait vraiment tellement ça ne collait pas)
    -Carl Douglas : Kung Fu Fighting
    -Evanescence : Bring Me To Life


    Je vais arrêter la cette liste qui est déjà assez représentative pour vous laisser imaginer Mr Camille A. et moi même, devant l'écran, à jouer du Spice Girl ou du Village People... Ce titre s'adresse clairement à ceux que les tracklist assez Rock/Hard/Metal, d'autres jeux musicaux, pourraient faire fuir.
    Les couleurs sont très flashy, avec une forte dominance de rose fluo, le graphisme est très proche de ce que l'on trouve sur un Guitar Hero classique, tout en faisant vraiment le minimum pour ne pas devenir trop ridicule. Passons sur les incohérences classiques comme une homme qui chante avec une voix de femme, ou encore des partiesde saxophone qui étrangement se jouent à la guitare. Bref, un titre à réserver à un public assez jeune, ou à la limite à sortir pour une soirée histoire d'avoir de la musique passe partout sans effrayer les gens avec des solo de gratte à reveiller les morts.

    J'ai profité de l'arrivée de la nouvelle batterie pour tester The Beatles Rock Band avec cet instrument. Je voulais à l'origine débloquer les succès qui concerne le didactiel et le différents rythmes du groupe, mais il y en a tellement que ça sera certainement pour plus tard. La partie batterie est en tout cas à l'image du reste du titre, complète et de qualité.

    Comme souvent depuis son achat, j'ai entre temps passé un peu de temps sur Chime, en pensant encore une fois à me trouver le Tetris original. Pas de succès, ceux qui restent à débloquer demandent du temps, mais ça finira bien par arriver.

    Petit bilan de cette semaine, comme à chaque fois :
    Score total en fin de semaine : 46 531G
    Score semaine précédente : 45 575 G
    Score de la semaine : 956G

    Encore une semaine à gros score, mais c'est uniquement grace à Band Hero qui offre plus de 700g sur la seule journée de mercredi. Mass Effect 2 n'est pas aussi généreux mais le sera certainement une fois le titre terminé.

    La semaine prochaine s'annonce moins importante, car pour une fois c'est la PS3 qui va chauffer un peu, sur un titre qui sera certainement bouclé dimanche prochain, mais qui devrait beaucoup me plaire.
    Reste également le test de la daube dont je parlais la semaine dernière, qui est toujours en attente faute de temps. Une daube qui cependant devrait me rapporter quelques points assez facilement.

  • jeux de la semaine

    Comme chaque semaine, il est temps de faire le bilan des titres ou j'ai passé du temps. Cette semaine a encore une fois été dédiée uniquement à la Xbox 360, la prochaine sera différentes, car j'ai un Heavy Rain qui m'attends et qui me tente vraiment beaucoup.

    mass-effect.JPGCette fois c'est Mass Effect 2 qui a été à l'honneur, j'en suis actuellement à 21h de jeu, et je commence à sentir la fin arriver. Il faut dire que je prends vraiment mon temps à tout explorer pour obtenir l'ensemble des améliorations disponibles. Je cherche également à faire les missions secondaires, ce qui demande, comme souvent dans ce style de jeux, quelques heures supplémentaires. Impossible pour le moment de donner un avis définitif, mais comparé au premier volet, j'ai comme l'impression que l'histoire principale est beaucoup moins présente. Pour le moment le but est de passer son temps à recruter une équipe et à régler les petits soucis de chaque membre, la trame principale donne presque l'impression d'être secondaire. C'est certes une bonne chose pour donner du relief aux différents personnages, mais avec mon avancée dans le jeu, j'ai peur que l'histoire principale passe un peu trop au second plan.

    Un titre que je terminerai certainement en milieu de semaine prochaine sans avoir vu le temps passer ,c'est dire à quel point il est bon.

    Mercredi a été une fois de plus une journée de jeu en duo, et une fois de plus c'est sur un jeu musical que nous avons enchainé les performances. Band Hero représente mon plus gros score de la semaine en terme de succès, ce qui n'est pas difficile lorsqu'un titre propose un succès à 490G qui se débloque facilement. Quelques explications sur l'arrivée de ce titre à la track list assez.... douteuse, dans ma liste de succès.
    Le pack avec les instruments se trouve à maintenant 100€, et dans ce pack on trouve la meilleure batterie disponible actuellement et à ce prix, Mr Camille A. n'a tout simplement pas pu résister. Afin de rentabiliser l'achat, nous avons donc oeuvré à ce fameux succès, qui nous a tout de même demandé de jouer certains morceaux dont ils souhaiterait taire le nom pour ne pas nuire à sa réputation de personne de bon goût.

  • Dragon Ball, Legacy of Goku 2 - fin

    Dragon Ball, Legacy of Goku 2 : gameplay

    dragon-ball-z.JPG

    Tous les personnages jouables seront capables d’effectuer des coups issus de la série. Entre Mazenko Ha, Makenkosapo, Kamehameha et Final Flash, les fans de la série télé ne seront pas dépaysés. Même la transformation en Super Guerrier (ou Super Namek dans le cas de Piccolo) est disponible. Des coups qui vous serviront, nous vous le garantissons : même avec un niveau confortable, vous serez souvent coincé dans le flot des attaques ennemies sans rien pouvoir faire. C’est la mort assurée. Il vous faudra être rusé, vif, et acharné pour sortir vainqueur de certains combats. En clair, DBZ LOG 2 est parfois dur, très dur, trop dur. Paradoxalement, certains passages seront vraiment faciles… c’est à n’y rien comprendre.

    Et pour continuer dans les défauts, sachez également que la distance nécessaire pour donner un coup à l’adversaire varie en fonction des monstres et de votre alignement avec ce même ennemi. Parfois vous aurez l’impression d’être trop loin alors que vous pouvez lui assener un bon coup dans les dents. En revanche, si vous avez un problème pour l’évaluation des distances, les ennemis n’en auront pas et profiteront de la première occasion pour stopper votre progression. En clair, alors que vous avancez vers un ennemi pour vous placer à portée de coup, cet ennemi aura l’occasion de vous attaquer au moment optimal. C’est légèrement rageant ! Dans la même veine, vous serez parfois attaqué par deux ennemis, l’un en face de vous, l’autre sur le côté : dans cette position, vous ne pourrez que fuir car il vous sera impossible d’attaquer ni l’un, ni l’autre. En effet, quand vous subissez un coup, vous êtes paralysé une petite seconde, juste le temps pour qu’un second ennemi porte son attaque, vous paralyse une nouvelle fois et passe son tour au voisin, etc. Vous avez sûrement compris maintenant pourquoi il faut fuir !

    Dernier point négatif, pour finir sur les mauvaises nouvelles, les musiques ne sont pas formidables, loin de là. Même si celles-ci font l’effort d’exploiter légèrement le potentiel du processeur musical de la console, elles sont assez molles, endorment le joueur et surtout ne reprennent pas du tout les thèmes originaux de la série, comme le précédent opus soit dit en passant. C’est curieux que Webfoot et Atari puissent utiliser tout le potentiel de la série, allant même jusqu’à copier le scénario presque mot pour mot, et oublier qu’il serait sympa d’ajouter une ambiance musicale appropriée.

    - Webfoot s’est largement amélioré

    Techniquement, et sans parler de la musique, le jeu est plus joli et plus jouable que le 1er volet. L’animation des personnages est sans reproche et l’on trouve parfois quelques détails amusants, comme le mouvement des cheveux de Trunks quand il se bat, par exemple. Plus complet et toujours fidèle à la série, Legacy of Goku 2 se révèle être un jeu où l’on aime revenir même si vous avez encore perdu face aux crocodiles des îles. Webfoot Games, à qui l’on doit également le premier opus, s’avère être un bon programmeur sur GBA et démontre même que le studio peut s’améliorer avec le temps. De nouvelles options dans LOG 2 le prouve : vous avez maintenant accès à une carte dont le nombre d’options augmentera durant le scénario, vous partirez à la recherche des Dragon Balls (ce qui n’était pas le cas dans le premier jeu), et le simple fait d’avoir 6 personnages à sa disposition rend le jeu beaucoup plus intéressant.

    Dragon Ball Z : Legacy of Goku 2 est donc un bon jeu. Pas exceptionnel, sans grande prétention, avec un léger défaut au niveau des thèmes musicaux que je ne trouve pas top, mais très amusant, même si parfois il est très frustrant par sa soudaine difficulté. Les fans de la série télévisée trouveront ici une nouvelle occasion de retrouver la bande des guerriers aux cheveux jaunes. Le jeu se terminant sur la défaite de Cell lors du Cell Game, il semble que Webfoot peut encore nous concocter un jeu pour la dernière partie de DBZ avec Boo, le tournoi d'outre-Monde, etc. Nous serons là pour vous faire le test !

  • Test de Dragon Ball, Legacy of Goku 2

    Goku, Gohan, Vegeta, Piccolo, Trunks et Satan sont les héros que vous allez incarner dans ce nouveau rendez-vous vidéo ludique. Legacy of Goku 2 (Héritage de Goku in french in the text), toujours très fidèle à la série DBZ, reprendra l’histoire exactement là où vous l’aviez laissé dans le premier opus. Si les bases du premier sont restées, les développeurs ont toutefois eu la bonne idée d’apporter quelques améliorations. Mais attention, car le jeu n’est toujours pas parfait.

    Dragon Ball, série d’animation à succès qui compte le plus d’épisodes (environ 600 en comptant DBZ et DB GT), a toujours été une source d’inspiration privilégiée pour les développeurs et éditeurs du titre. Bandai, l’éternel acquéreur de la licence au Japon, a sorti une bonne vingtaine de titres sur toutes les consoles qui ont pu voir le jour (mis à part la Neo Geo Pocket… et une ou deux autres plates-formes inconnues du grand public) et continue encore aujourd’hui a exploiter la licence alors que la série est finie et que Goku est parti avec Shenlong (le grand dragon qui exauce les vœux)… C’est ainsi que Budokai est adapté sur Gamecube a peu près en même temps qu’un second jeu de combat devrait voir le jour sur PS2 et que 2 jeux sont arrivés sur Gameboy Advance. Et c’est justement du second dont nous allons parler aujourd’hui.

    - Pas trop dur le scénario

    Pour ceux qui n’auraient pas eu « la chance » de jouer au premier Legacy of Goku, sachez que ce dernier reprend strictement toute la première partie du scénario de DBZ : Radditz, le frère de Goku, arrive sur Terre, enlève Gohan, Goku récupère son fils mais meurt dans l’opération, puis va au Paradis d’où il repart pour arriver quand Vegeta débarque à son tour sur Terre juste avant que la menace Frieza pointe le bout de son doigt. Goku part pour Namek pour tuer Frieza et ses alliés… Et voilà, c’est fini ! Et c’est alors que commence le second Legacy of Goku, celui qui nous intéresse plus particulièrement. Vous commencez d’abord avec Trunks, encore jeune, dans son futur alternatif détruit par les cyborgs du Dr Gero. Son maître est Gohan, lequel n’a plus qu’un bras suite à une altercation avec lesdits robots. Il vous apprend alors les bases : le bon vieux coup de poing et le lancer de boule d’énergie. Très efficace.

    Apres une légère introduction, tirée de Trunks Story, vous vous retrouvez dans la peau de Gohan. Trois ans ont passé depuis la défaite de Frieza et Gohan s’impatiente de revoir son père. C’est alors que Trunks (légèrement plus vieux que lors de la présentation) arrive, tue Frieza et son père de retour de Namek. Goku en profite également pour revenir sur Terre. Et c’est ainsi que démarre la saga de Cell qui vous emmènera au travers de tous les épisodes de DBZ : la découverte de la capsule temporelle de Cell, la destruction de C19 et C20, le réveil de C16, C17 et C18, l’entraînement au domaine de Dieu, l’assimilation de C17 et C18, la quête des Dragon Balls pour ressusciter toutes les victimes de Cell et enfin le Cell Game.

    - 6 personnages jouables !

    Entrons maintenant dans le jeu à proprement parler. Legacy of Goku 2 est, comme son prédécesseur, un jeu d’action en 2D mâtiné de quelques facettes RPG. Comparable à un Zelda en plus simple encore, vous devrez parcourir des niveaux pour atteindre un objectif. Vous aurez une trentaine de missions à remplir, la plus simple étant de retrouver le livre de math de Gohan, la moins facile étant de retrouver tout au long du jeu plus d’une vingtaine de capsule dorée. Durant l'aventure, vous rencontrerez des ennemis et des boss (ces derniers intervenant au gré du scénario original de la série) et les battre vous permettra d’acquérir des points d’expérience, lesquels servent à faire augmenter votre level d’expérience. Une routine donc ! Contrairement au premier opus où vous ne dirigiez que Goku, vous aurez le droit de contrôler 5 personnages (Goku, Gohan, Trunks, Vegeta et Piccolo), plus Satan si vous arrivez à acquérir l’ensemble des objets nécessaires pour le débloquer. Vous pourrez augmenter le level d’expérience de chacun d’eux indifféremment.

    Mais attention toutefois car des portes avec des numéros vous bloqueront durant votre quête : ces portes sont faites pour garantir que vous avez le niveau d’expérience requis pour ne pas mourir à la prochaine rencontre.

     

     

  • Civilization III - TEST

    Voilà qui va ravir les fans de stratégie à la mode civilization, le voilà enfin arrivé sur nos écrans, j’ai nommé le très attendu Civilization 3. Voilà l’un des titres phares de cette année, qui nous remet donc en selle après cinq ans passés sur le deuxième volet. Alors bien sûr, ce nouveau titre de Sid Meier est attendu au tournant, d’autant plus depuis la sortie des deux Call To Power qui contestent la suprématie des Civilization. Attention donc, chaud devant...

    civilization.JPG

    Après plusieurs mois d’impatience à attendre la sortie du titre en France (déjà disponible outre-atlantique depuis octobre), enfin devant nous se dresse la boîte de Civilization III sur laquelle on nous promet monts et merveilles. On déchire l’emballage d'un coup vif et rapide, on se jette sur le cd et l'on procède à l’installation. Allez, tout est prêt, on se lance enfin!

    Pour ceux qui n’ont jamais connu la joie de jouer à Civilisation, le passage par le didacticiel est indispensable pour appréhender tous les tenants et aboutissants du jeu. Pour les autres, il n’y a aucun problème à se jeter directement dans la gueule du loup et aborder sans plus de préparation le vif du sujet. L’interface est très claire, aussi bien quand il s’agit de gérer les villes ou les unités. Les menus déroulants ont laissé place aux boutons et c’est tant mieux. Bref, aucun problème de prise en main n'est à déplorer et pour une fois, on se ballade gaiement dans l’interface en appréciant sa qualité de finition (ce n’est malheureusement pas toujours le cas). Si malgré tout, vous vous sentez quelques peu perdus, retournez voir la boîte du jeu, oui regardez vous avez laissé de côté, dans la précipitation, le beau manuel de 236 pages. Ne cherchez plus, vous avez trouvé votre livre de chevet pour les semaines qui viennent !! Et vous verrez, vous allez en apprendre des choses!

    construire notre civilisation

    Bon. Une fois cette phase d'adaptation réussie, il est temps de passer aux choses sérieuses : construire notre civilisation. Tout d’abord, il va falloir choisir son camp : Français (pour être chauvins), Zoulouland (pour le dépaysement), Américains (vive la puissance), à vous de voir mais attention chaque nation (parmi les seize proposées) possède ses propres caractéristiques et même une unité spéciale.

    Une fois ce choix décisif fait, on se retrouve avec un petit colon (fondateur de ville) et un travailleur (creuser, défricher, irriguer c’est son métier) sur une grande et jolie carte. Oui car une première constatation s’impose, même à ce stade du jeu, les graphismes n’ont aucune comparaison avec Civ 2 même si cela reste de la 3D isométrique. C’est beau et net: on repère facilement les différents types de terrain et unités, c’est finalement tout ce que l’on demande dans un jeu de stratégie comme Civilization.

    Avant de dominer et conquérir le monde, on commencera par construire une seule ville. Il suffit de trouver l’endroit idéal et voilà, notre civilisation vient de naître. Tout de suite on se prend au jeu, on construit des unités, des routes, des mines, on irrigue, on améliore les villes, on construit des merveilles, on fait de la recherche, bref, lorsque que l’on décolle de l’écran pour la première fois on a la surprise de voir que bien des heures ont passé ! C’est bien du Civilization, et on retrouve le même plaisir de jeu. Au bout de ces quelques temps passés devant le titre, on est à même d’apprécier les quelques nouveautés que l’on a pu rencontrer.

    Trouver des ressources : or, gold, crédits

    En observant la carte avec des yeux d’expert on remarquera en effets des icônes de ressources. Celles-ci parsemées sur la carte peuvent être de trois sortes: d'abord les ressources bonus qui améliorent la production de votre ville (soit de nourriture pour le blé, le bétail, etc... ou de revenus avec l’or). Ensuite, les produits de luxe qui amélioreront la satisfaction de vos citoyens (vin, diamants, épices, soie, etc...) Et des citoyens heureux ce n’est pas toujours facile à avoir !

    Et enfin, mais non les moindres, les ressources stratégiques qui autoriseront la construction d’unités particulières (par exemple il faudra trouver des chevaux pour pouvoir faire des cavaliers) ou permettre le développement (le charbon, le pétrole, l’uranium, l’aluminium, or, crédits ).

    Ces ressources n’apparaîtront sur la carte que lorsque les technologies nécessaires à leur utilisation auront été découvertes. Les civilisations les plus avancées technologiquement pourront donc installer plus rapidement des colonies pour exploiter ces ressources indispensables à l’expansion et s’ouvrir ainsi les portes d’un commerce florissant.